
J’ai encore dit oui. Mon goût d’apprendre des choses en acceptant d’en parler en public, alors même que je ne suis pas solide sur mes appuis, aura ruiné un nombre conséquent de mes nuits. Je continue à me méfier de l’ultracrépidarianisme et risque fort, en écrivant ce billet, de mettre en lumière la légendaire “poutre dans mon œil”. Puisse les quelques collègues qui passeront par là, plus fin·es connaisseurs et connaisseuses que moi sur la question que j’avais accepté de traiter, de ne pas s’en servir pour m’assommer mais plutôt m’aider à affiner et compléter mon propos et à souligner tout ce qu’il pouvait comporter de maladroit et d’inadapté afin que je l’amende.