Le ratio mètres carrés d’espaces internes/nombre d’agents à la BUA a baissé ces 10 dernières années, sous l’effet de plusieurs facteurs :
- accueil dans les locaux de la BU Belle Beille d’une cellule d’innovation pédagogique,
- rattachement du service archives de l’université à la BUA,
- accueil de plusieurs stagiaires “longs” (de 1 à 5 mois), dont certains en alternance, chaque année,
- remise à disposition du public des 4 “salles de travail de groupes” à la BU St Serge requalifiées en bureaux au moment de l’extension et qui dysfonctionnaient en tant que tels (moindres interactions avec le reste de l’équipe, problèmes climatiques quand un espace conçu et ventilé pour 12 est occupé par une seule personne, accès à l’imprimante, aux toilettes…)
- réorganisation de l’encadrement basé sur le passage fluide des cadres d’un site à l’autre…
Conséquence : tous les agents (y compris l’équipe de direction) partagent des bureaux collectifs, la cohabitation d’une équipe installée depuis longtemps avec de nouveaux venus est plus fréquente qu’avant et les espaces communs (cuisine, toilettes…) font l’objet d’une fréquentation accrue.
Dans les espaces internes comme dans les espaces publics, quand beaucoup (ou davantage) d’individus aux intérêts divers doivent cohabiter, il peut être intéressant de réfléchir de manière délibérée à comment passer de conventions sociales implicites à une explicitation de ce qui peut faciliter la “vie commune au travail”. Voici notre tentative du moment pour ouvrir un dialogue professionnel sur ces questions.