Manifestations passées

Projet FoBrAd (Forme brève et Adolescence)

Soutenu par le programme EnJeu[x] et le laboratoire CIRPaLL

affiche-FoBrAd19oct2018

Plus d’information sur : blog.univ-angers.fr/shortformsandadolescence

Entre texte et image : formes brèves et adolescence.
Journée d’étude organisée le 19 octobre 2019 par Cécile Meynard et Emmanuel Vernadakis

Journée d’étude :
11h Laura Lojo Rodriguez (Université de Saint-Jacques de Compostelle) ‘Evil Adolescence in Andrea Levy’s Short Fiction’
11h30 : Jorge Sacido (Université de Saint-Jacques de Compostelle)’Hybrid Boyhood in Contemporary British Short Stories’
12h : Gérald Préher (Université catholique de Lille) : Joyce Carol Oates Remixed: Picturing Adolescent Life in Small Avalanches and Other Stories

14h45 : Marina Vihou (Université d’Athènes) « Hétérogénéité scolaire à travers quelques courts métrages réalisés par des élèves athéniens sur leur ville »
15h15 : Sylvie Octobre (DEPS, ministère de la culture) et Vincent Cicchelli (Université Paris 5) « Cosmoculture in a global age : reception and appropriation of cultural products among young people in France »
16h30 : discussion
16h45 : fin journée

2018
Colloque “Les temps de la fulgurance : forces et fragilités de la forme brève”

Organisé par Karima Thomas et Cécile Meynard

– Le colloque a permis l’organisation de conférences plénières sur le thème de la temporalité de la fulgurance dans différentes formes brèves :

a/ La fulgurance dans la série télévisée
(Shannon Wells Lassagne, Université de Bourgogne)
b/ La fulgurance dans la bande-annonce
(Sylvie Perineau Lorenzo, Université de Limoges)
c/ La fulgurance dans la micro-fiction
(Yvon Houssais, Université de Franche Comté)
d/ La fulgurance dans l’art de la rue
(Liliane Louvel, Université de Poitiers)
e/ La fulgurance dans l’histoire de la peinture
(Anne Esnault, Musées d’Angers)
f/ Les temps de la fulgurance dans la modernité
(Gianluca Garelli, Université de Florence)

Les sessions du colloque ont permis d’explorer différentes expressions du temps de la fulgurance dans des formes brèves telles que :
– Nouvelles et récits
– Formes insolites (Haiku, tragédie en deux répliques, short-short fiction)
– Performance (Danse, Fluxus)
– Arts visuels (bande dessinée, street-art, photographie, peinture, chorégraphie)
– Formes brèves audio-visuelles (court métrage d’animation, séries télévisées, génériques de série télévisées,
– Formes brèves et nouvelles technologies : cyberformance, jeux en ligne
L’analyse des forces et des faiblesses de la fulgurance dans la forme brève a permis de mener une réflexion sur le subliminal, l’implicite, le signifiant et l’insignifiant, l’esthétique de l’effacement, du dépouillement, de l’éblouissement et d’analyser le rôle du récepteur face à cette esthétique minimaliste mais aussi dense. Au niveau de la réception, les participant ont explorer les risques de la fulgurance et la nécessité d’une fulgurance éphémère.

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2016-2017 : Projet FoBrALC (Formes brèves dans les Arts, la Linguistique et la Culture)

Projet soutenu par le CPER (Région Pays de la Loire) et le CIRPaLL.
Pilotes : Cécile Meynard (université d’Angers) et Walter Zidaric (université de Nantes)

2016
Organisation de 3 workshops, à Angers et à Nantes.

– Premiers éléments de définition et grandes lignes de cadrage, 29-30 septembre 2016 (Angers) : de la notion de forme brève, Objectif : identifier les points de divergence et surtout de convergence entre les approches de différentes disciplines.

– Formes brèves dans les arts du spectacle, 3 novembre 2016 (Nantes). Objectif : centrer l’analyse sur deux disciplines d’Arts du spectacle : chanson et cinéma.

– Formes brèves et nouvelles technologies (Angers), 24-25 novembre 2016 à Angers. Objectif : aborder la question des relations entre formes brèves et nouvelles technologies.

Chaque workshop laissait une place importante aux dialogues entre les conférenciers et le public, et prévoyaient des tables rondes qui permettaient à des spécialistes de confronter leurs idées avec
Les langues parlées lors de ces workshops étaient le français, l’anglais, et l’italien.

2017
Organisation d’une Journée d’étude sur “Les formes brèves au prisme de l’inachevé”

Organisateurs: C. Meynard, A. Birks, M. Ryan-Sautour, E. Vernadakis, A. Vincent-Goubeau.

Date : 10 novembre 2017, Lieu : Université catholique de l’Ouest, Angers
Intervenants :
– Elisabeth Vincent, orthophoniste, psycho-praticienne, Paris, « La forme brève, une autre dynamique thérapeutique » ;
– Gabrielle Reiner, Docteur en études cinématographiques et nouveaux médias, Paris-III, « Poétique du fragment et enjeux de l’inachèvement dans le cinéma expérimental » ;
– Françoise Daviet-Taylor, professeure, études germaniques, Université d’Angers, « La conscience de l’inachevé : genèse et énonciation » ;
– Anne Vincent-Goubeau maître de conférences, Arts plastiques, Faculté des Humanités, Université catholique de l’ouest, « Itinérances. Du carnet de bord aux errances dans l’atelier » ;
– Laura Torres, maître de conférences en littérature anglophone, Université catholique de Murcia, Espagne, « Fragmenting the text with fragments: literary quotations in Helen Simpson’s stories »
– Jacques Bouyer, professeur agrégé de lettres classiques, docteur en Littérature et civilisation de la Grèce moderne, INALCO, Paris, « Nouvelle et fragmentation du sujet. Le cas des nouvelles de Marios Hakkas ».

Cette journée d’étude, qui a laissé une large place aux discussions, a permis d’aborder un aspect de la question des formes brèves qui avait jusque là été laissé de côté, celle de l’inachevé. Un séminaire interne à l’axe Nouvelles et Formes brèves du laboratoire CIRPaLL (Université d’Angers) a été organisé le 8 décembre 2017 pour prolonger les réflexions de la journée sous une forme plus orientée workshop. Ont ainsi été évoquées les questions de durée, de fragmentation, de suspension, mais aussi de réception par le destinataire de la forme brève (il peut par exemple percevoir un inachèvement de l’histoire qui ne correspond pas forcément à un inachèvement de l’œuvre par exemple).

L’idée était aussi d’accentuer l’ouverture interdisciplinaire afin d’enrichir les questionnements sur la notion de « forme brève ». Les arts plastiques et arts du spectacle ont ainsi été mis à l’honneur lors de cette journée, et, pour la première fois, la question a été élargie à la médecine.

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