J’ai aimé les quatre saisons de Nathalie Prince, un tombeau littéraire poignant. Le deuil n’exclut pas l’humour. Il y a chez Nathalie Prince un je-ne-sais-quoi d’Ernestine Chasseboeuf dans l’art de la rouspétance. J’ai aimé, beaucoup aimé, alors, je partage.