Nos premiers pas

Un tout petit billet pour accompagner la mise en place du lab ici évoqué, en attendant que ledit lab dispose de ses propres canaux de diffusion, ce qui ne devrait pas tarder.

Le lab fait donc ses premiers pas en ce moment avec force réunions de mise en place, calage et discussions puisque tout est à mettre sur pied. Concrètement, afin d’accompagner l’équipe (pour mémoire, cinq personnes issues de la DDN UA et deux personnes issues de la Bibnum BUA), il a été décidé qu’un comité de pilotage validerait à la fois les feuilles de route et les réalisations de l’équipe.

Ce comité de pilotage s’est déjà réuni une première fois afin de se mettre en place et de régler son propre fonctionnement et les GT que j’évoque plus bas, il doit se réunir à nouveau à la fin décembre pour acter la naissance officielle du lab, ce qui déclenchera les premières actions que nous lancerons sous sa bannière.

Par ailleurs, deux groupes de travail sont en train d’oeuvrer. Le premier groupe se focalise sur le lab proprement dit et esquisse actuellement les grandes lignes de force le long desquelles nous nous concentrerons après top départ du comité de pilotage. Le second groupe est pour sa part chargé en parallèle de réfléchir à la montée en charge d’un SUP (service universitaire de pédagogie) qui constituera avec le lab, à terme, un teaching center également sur les rails (du coup).

Les chantiers sont immenses, mais c’est justement tout l’intérêt d’un tel projet où des personnes issues de cultures et milieux professionnels très différents, pas forcément habitués à travailler ensemble, se croisent enfin sur des thématiques transversales. Dit autrement, nous avons la grande chance de pouvoir sortir de nos petits prés carrés pour confronter nos méthodes et visions du monde : les expertises se renforcent mutuellement, et l’équipe commence concrètement à travailler sur un projet n’existant jusqu’alors que sur le papier.

Nos premiers pas sont comme tous les premiers pas : on se cale les uns les autres, on découvre qui prend du sucre (ou pas) dans son café, on sent la dynamique positive s’enclenchant entre des personnes qui ne se croisaient que de manière très très occasionnelle et vont pouvoir passer les deux prochaines années (au moins) sur les mêmes dossiers. Cette ambiance-là, il faut le dire, est particulièrement plaisante, qui a le goût de l’aventure comme celui du travail.